Eau perlée. Eau perlante. Goutte de rosée sur corps d’amante. Souvenirs de nos coeurs à corps. Mon coeur d’aimante sur ton corps d’amiante. Epuisée et puiser l’eau de là haut. L’eau de Vie. L’eau d’en-Vie. Source claire, éphémère. Les mots comme poussières, déposés là, tout en bas.
En bas de soie, en voile de laine. Masque satin, sourire enfin. Mais taire le corps. Taire l’en-corps. Cette terre d’encore parfois si vaine.
Et l’espoir
D’un miroir
D’un reflêt
D’une etreinte.
Un frémissement
mais c’est le vent, sans doute… qui me caresse la peau…
Caly
Très beau. Et pourtant je n'aime guère la poésie, en général.
RépondreSupprimerMerci Calyste, celan me fait vraiment plaisir de vous lire ici.
RépondreSupprimerBienvenue à vous.
J'adore ;-)
RépondreSupprimerTu as retrouvé tes mots
Bises
Lapinou
Je n'égare jamais rien, gentil dauphin...
RépondreSupprimerSimplement parfois, les mots, je les planque trop bien... Question de pudeur ? ou... ?
Bises
Dans la maison la bas dans les dunes ?
RépondreSupprimervi, aussi :)
RépondreSupprimertu sais où sont les clés, non ?
bises tendresse