Des bulles de savon
des luttes de salon
petite musique d’ambiance
quelques pas de danse
Mieux vaut s’éloigner
Ecrire en sourdine et crier
Tango lent et sanglots longs
lancinance des émotions
Des grands restaurants
Des sardines au menu
Hors portée des opus-cul,
quick passe des sentiments
Mieux vaut s’éloigner
Ecrire en sourdine et crier
Tango leste et gestes lents
mille dimensions du temps
Des lunettes de soleil
Des bourdons bondés d’abeilles
Regard masqué de khôl noir
bourbon ambré couleur d’espoir
Mieux vaut s’éloigner
Ecrire en sourdine et crier
Tango long et sanglots lourds
au lent silence des jours
Des rues pleines de tics
De formules magiques
Talismans et amulettes
sésames bannis de la quête
Mieux vaut s’éloigner
Ecrire en sourdine et crier
Danse Tango, Danse
rends-moi belle d’arrogance
Des tableaux en couleurs
Des tambours enrôleurs
Tempo d’une musique tzigane
écran de fumée d’une autre gitane
Mieux vaut s’éloigner
Ecrire en sourdine et crier
Mieux vaut rester
Rester, écrire fut-ce en sourdine
danser sur la musique divine
des mots posés sur le papier
des luttes de salon
petite musique d’ambiance
quelques pas de danse
Mieux vaut s’éloigner
Ecrire en sourdine et crier
Tango lent et sanglots longs
lancinance des émotions
Des grands restaurants
Des sardines au menu
Hors portée des opus-cul,
quick passe des sentiments
Mieux vaut s’éloigner
Ecrire en sourdine et crier
Tango leste et gestes lents
mille dimensions du temps
Des lunettes de soleil
Des bourdons bondés d’abeilles
Regard masqué de khôl noir
bourbon ambré couleur d’espoir
Mieux vaut s’éloigner
Ecrire en sourdine et crier
Tango long et sanglots lourds
au lent silence des jours
Des rues pleines de tics
De formules magiques
Talismans et amulettes
sésames bannis de la quête
Mieux vaut s’éloigner
Ecrire en sourdine et crier
Danse Tango, Danse
rends-moi belle d’arrogance
Des tableaux en couleurs
Des tambours enrôleurs
Tempo d’une musique tzigane
écran de fumée d’une autre gitane
Mieux vaut s’éloigner
Ecrire en sourdine et crier
Mieux vaut rester
Rester, écrire fut-ce en sourdine
danser sur la musique divine
des mots posés sur le papier
……….
Cribas/Caly
Il est très beau ce texte.
RépondreSupprimerMerci, Plume :)
SupprimerC'était notre sport favori à l'époque (il y a 7 ou 8 ans, je crois) de méler nos mots pour en faire osmose...
ou du moins essayer ;)
Oui ça commence à dater :-)
RépondreSupprimervi comme tu dis, papy ! mais y a du neuf depuis, t'as pas vu ?
SupprimerJe cherche..;-)
RépondreSupprimertu me tues des fois ! rires
SupprimerSimplement mon dernier billet !
Han ce mec ! ;)
Je l'ai lu oui.
RépondreSupprimerIl me fait penser à ça, écrit (et dit aussi, écoute,je ne sais plus si tu connais la catégorie "Poésiphonies" sur mon blog) en 2008:
http://cribas.fr/post/2008/01/27/Amicalement-vautre-Poesiphonie-silencieuse
Sourires...
SupprimerVi, beaux souvenirs que ceux là :)