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samedi 23 juillet 2011

Frémissement

Eau perlée. Eau perlante. Goutte de rosée sur corps d’amante. Souvenirs de nos coeurs à corps. Mon coeur d’aimante sur ton corps d’amiante. Epuisée et puiser l’eau de là haut. L’eau de Vie. L’eau d’en-Vie. Source claire, éphémère. Les mots comme poussières, déposés là, tout en bas.
En bas de soie, en voile de laine. Masque satin, sourire enfin. Mais taire le corps. Taire l’en-corps. Cette terre d’encore parfois si vaine.
Et l’espoir
D’un miroir
D’un reflêt
D’une etreinte.
Un frémissement
mais c’est le vent, sans doute… qui me caresse la peau…
Caly 

6 commentaires:

  1. Très beau. Et pourtant je n'aime guère la poésie, en général.

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  2. Merci Calyste, celan me fait vraiment plaisir de vous lire ici.

    Bienvenue à vous.

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  3. J'adore ;-)
    Tu as retrouvé tes mots
    Bises
    Lapinou

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  4. Je n'égare jamais rien, gentil dauphin...

    Simplement parfois, les mots, je les planque trop bien... Question de pudeur ? ou... ?

    Bises

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  5. Dans la maison la bas dans les dunes ?

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  6. vi, aussi :)

    tu sais où sont les clés, non ?

    bises tendresse

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