Tous nos supers-méga-géants dirigeants clament leur surprise à l'annonce du référendum grec, comme si prendre l'avis du peuple, en démocratie, était une incongruité.
Tous crient à la trahison, se plaignent de ne pas avoir été prévenu, parlent d'un coup vicieux, opportuniste, voire maffieux...
Et pourtant, suffisait de lire en juin dernier, l'article que j'ai le plaisir de vous mettre en ligne ici
Et si c'est le Figaro qui le dit...
;)
Et malheureusement c'est fini, on a retiré la parole au peuple...
RépondreSupprimerReste la rue !
Oui, Plume, reste la rue.
RépondreSupprimerCe qui est frappant dans cette histoire, c'est la réaction de tous les dirigeants. Ils ont montré à quel point ils ont peur du peuple, de son avis, de sa capacité à résister.
Il n'y a qu'à voir comment les merkozy ont essayé d'imposer un agenda et LA question à poser !
(Manquent pas d'air ces deux là ! han !)
Ceci dit, je n'y croyais pas (dès lundi soir) à ce référendum, je le disais à Mister B. par msn, faut pas rêver non plus, ce n'était qu'un coup de bluff de papandréou...
Dire que j'ai cru en l'Europe.... (si, si je l'avoue) mais je la voyais sociale, unie, fraternelle...
Vi suis, non j'ai été, très naïve... snif...