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samedi 28 avril 2012

Il est laid le bidet...

Un billet chez Sacrip'Anne me ramène en pays de souvenirs...

C'était il y a longtemps, très longtemps.  Avant le temps d'internet et des blogs.  C'est dire !  rires.

Je bossais à l'époque pour Fiat Auto (Belgio) Boulevard des Invalides (vaste programme, non ?) près du métro Delta (cherche pas ils ont déménagé depuis!).

J'ai commencé intérimaire au service publicité/organisationnel.  Ils m'ont engagée en CDI par après.  Ledit CDI n'a pas duré longtemps, faut dire.  Que veux-tu, j'ai toujours eu du mal à accepter "patron" et autre "contrat", la liberté ayant un prix, je l'ai payé sans honte, sans scrupules et fière de moi.  Bon pour fermer cette parenthèse, je dirais que mes missions intérimaires duraient souvent plus longtemps que mes CDI (peu nombreux il est vrai)

Bref...

Le boulot était sympa.  C'est bien pourquoi j'avais, contre toute évidence vu mon sale caractère accepté un CDI.   Le coté "pub" me laissait indifférente, mais le coté "organisationnel" me passionnait.  Je devais déjà être "logisticienne" dans l'âme faut croire :)

Mais le plus marrant, c'était le bâtiment.  Un vieil immeuble datant des années 50-60 (du siècle passé) fonctionnel mais sans l'âme Horta non plus hein, faut pas rêver.

Les bureaux étaient grands, il n'y avait pas encore cette horreur moderne que sont les "open-space".  Donc on étaient deux, voire trois dans une pièce.  Vas-y encore trouver ça à notre époque !

Mais le plus marrant, c'était les toilettes.  Séparées, hommes/femmes, bien évidemment.  Et je te laisse deviner ce qu'il y avait dans les toilettes des dames...

Tu ne vois pas ?

Réfléchis....

Dans les toilettes des dames...  Il y avait...    un bidet !

Bon tu me diras que lorsqu'on travaille pour des italiens faut s'y attendre....  vi, vi,  bunga, bunga, toussa, toussa...

Et à quoi pouvaient-ils bien servir ces bidets, te demanderas-tu, enfin si tu réfléchis qu'on était dans un milieu professionnel et pas dans un hôtel de passe (quoi que)...

Ben voici, et promis que je l'ai vu de mes yeux vu.  Les secrétaires de directions devant  à l'époque  (oui déjà) faire la vaisselle des tasses à café de leurs N+1.

Pour ce faire, elles utilisaient le bidet des toilettes des dames et la savonnette du lavabo adjacent.  

Etait-ce par bêtise ou par vengeance ?  Je ne saurais répondre...  Peut-être plus simplement parce que les toilettes des dames étaient plus proches de leur bureau que le réfectoire et son lave-vaisselle...

:)

9 commentaires:

  1. Zouden wij, des tijds, samen gewerkt hebben ?

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    1. 't zou wel kunnen, ik heb met veel (te véél?) onbekende gewerkt.

      Beste zou zijn mij een naam of meer inlichtingen te geven zodat ik jou kan antwoorden ;)

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  2. Il se dit que soixante dix huit pour cent des hommes ont déjà uriné dans un lavabo.
    Les vingt deux pour cent restant n'ayant pas réussi faute de trop petite taille...

    Il n'y a qu'un lointain rapport entre ce commentaire et ton billet... peut-être...

    Bleck

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    1. Tu parles de la taille de quoi, Bleck ? rires

      Plus sérieusement (quoi que) je trouve ce pourcentage très faible. Pourtant faute (?) avouée est généralement pardonnée ;)

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  3. Réponses
    1. Oh oui, je te promet qu'elles y prenaient un plaisir sadique !...

      ... surtout en leur servant le café suivant ;)

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  4. J'aurais fait pareil, et collé un poil de cul sous le verre, ce qui donnerait un sens à l'expression "cul sec".

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    1. @ Mister B. Faut aussi se souvenir que c'était l'age d'or de la "promotion canapé" et que forcément des "culs secs" il n'y en avait pas beaucoup en l'Ho-Cul-Rance ;)

      @ Plume : faut croire que quand le vers est dans la pomme, le poil se met au verre à défaut ...

      Bon ok je -->

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